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Croate Le croate est une langue du groupe méridional des
langues slaves, de la la famille des langues indo-européennes.
Il est intercompréhensible par les locuteurs du serbe
; à partir de la fin du XIXe siècle et durant
la période yougoslave (1919-1990), la dénomination
serbo-croate pour les deux langues était communément
admise.
Distribution
Le croate est la langue nationale et officielle de la Croatie.
Il est aussi l’une de trois langues officielles de Bosnie-Herzégovine.
Il est également parlé par des minorités
croates en Hongrie, Autriche (dans le Burgenland), Roumanie,
Italie (Frioul-Vénétie julienne et Molise) et
Serbie-et-Monténégro (en Voïvodine). Des
communautés issues de l'émigration utilisent
le croate notamment en Allemagne, en Australie et au Canada.
Structure
Le croate regroupe trois dialectes (štokavien, kajkavien
et tchakavien).
Le kajkavien (de moins en moins utilisé en ville,
notamment par les jeunes) est parlé au nord du pays
(dans le Hrvatsko Zagorje et dans le Medjimurje), autour de
Zagreb, à Varaždin.
Le tchakavien à l’ouest : en Istrie, à Lika,
dans les îles au nord de l’île de Korčula
et dans les villes dalmates (Split, Zadar, Šibenik,
Makarska, etc) et leurs environs.
Ailleurs, (en Slavonie, et dans le reste de la Dalmatie (y
compris Dubrovnik) et en Herzégovine, on utilise le štokavien
croate qui est lui-même divisé en deux sous-groupes
(ikavien et ijékavien) selon la prononciation de la
voyelle « jat » du slave commun. C'est le štokavien
qui est à la base de la langue écrite (administrative,
scolaire, littéraire) et des médias audio-visuels
(radio, télévision).
Burgenland
Le croate du Burgenland (en croate « gradišćanski
hrvatski ») est parlé dans des îlots linguistiques
du « Südmähren », en Autriche, Hongrie,
Slovaquie, près des frontières entre ces trois
pays. Il a pour origine le tchakavien (marqué par un
isolement linguistique au cours des 450 dernières années),
utilise des archaïsmes et des emprunts à l'allemand.
Histoire
La langue littéraire croate est fondée sur
la variante du štokavien-ijékavien, codifiée
dès 1604 par le jésuite Bartol Kasic (1575-1650)
dans sa Grammaire (1604) et son Dictionnaire croate-italien
(1599), et employée dans sa Bible (1636) et son Rituel
romain (1640). L'orthographe croate fut définitivement
fixée et standardisée au milieu du XIXe siècle,
sous l’impulsion notamment de Ljudevit Gaj, figure éminente
du renouveau national croate.
Depuis plus de cinq siècles, le croate s'écrit
en caractères latins et utilise 30 lettres. Mais du
IXe à la fin du XVe siècle, et pour certaines
régions côtières jusqu'au début
du XIXe siècle, le croate s’écrivait en
caractères glagolitiques. Les plus vieux textes glagolitiques
croates conservés datent du XIe siècle et la
plupart, parmi eux, sont gravés dans la pierre, comme
celui de la stèle de Baška qui est remarquable
par ses dimensions et par l'importance du texte qui, pour la
première fois, mentionne la nation croate. Plus étonnant,
le Texte du Sacre sur lequel les rois de France prêtaient
serment à Reims était également partiellement
rédigé en glagolitique croate. Aussi, les Croates étaient
les seuls catholiques européens qui avaient l’autorisation
de Rome de ne pas se servir du latin ni de l'alphabet latin
dans la liturgie. C’était pour cela qu’ils
ont imprimé le premier missel en caractères glagolitiques
en 1483.
Au début des années 1970, et de nouveau dans
les années 1990 (proclamation de la souverainté de
la Croatie, guerres en Yougoslavie), l'apparition d'un mouvement
national croate linguistiquement puriste conduisit à séparer
le croate du serbo-croate, à dénoncer et rejeter
les « serbismes » et les « internationalismes » et à réintroduire
dans la langue de nombreux mots plus ou moins sortis de l'usage
depuis des décennies et des néologismes à base
slave. Il s'agissait d'une politique délibérée
de marquer la différence avec le serbe, alors même
que les nationalistes au pouvoir en Serbie épuraient
le serbe de ses « croatismes.
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